Catégorie : Tranche de vie

Mignonnes de Maimouna Doucouré

De quoi ça parle ?

On suit Amy, une jeune fille de 11 ans, vivant avec sa mère et ses petits frères. Elle apprend que son père revient du Sénégal avec une deuxième femme dans les bagages. Témoin de la souffrance de sa mère, elle rencontre alors un groupe de danseuses « Les Mignonnes » qu’elle voudra à tout prix rejoindre.

Un jour comme un autre

Vélotaf : Le camion, un prédateur naturel des cyclistes urbains

Illustrons mon propos par une histoire qui, comme beaucoup d’histoires, a sa part de réalité.

Il était une fois…

Il était une fois une intersection compliquée. Un camionneur au GPS affolé a oublié de tourner ! Sous le stress du chronomètre qui continue d’avancer, il enclenche une marche arrière. Mais, des cyclistes et automobilistes pressés filent de tous côtés, car elles aussi possèdent un chronomètre au tic-tac entêtant.

Comme une envie de fuite

Des fois, j’ai envie de tout claquer. Quitter la grande ville pour une petite maison avec jardin dans un coin perdu, quelque part sur un plateau montagnard.

Femmage à ma grand-mère

Ma grand-mère est décédée.

Fin de l’enfance

Comme l’a dit si bien une de mes sœurs, c’est un peu de notre enfance qui est partie avec elle.

Bilan 2 : Écriture, jardinage et bicyclette

Le mois de décembre est le mois du bilan. La mélancolie douce de l’automne s’efface, les dernières feuilles lumineuses tombent et le soleil – quand il apparaît – disparaît derrière les immeubles avant d’avoir eu le temps de sortir le bout de son nez.

Oui, le mois de décembre est le mois du bilan. A faire avec un bon thé chaud et un plaid. Je vais d’ailleurs de ce pas relancer la bouilloire.

Cette année a été une année mouvementée par plusieurs aspects. Le bilan se fera donc en plusieurs parties. Voici la seconde, axée vis-ma-vie d’écolo-gaucho.

Bilan 1 : La lutte continue

Le mois de décembre est le mois du bilan. La mélancolie douce de l’automne s’efface, les dernières feuilles lumineuses tombent et le soleil – quand il apparaît – disparaît derrière les immeubles avant d’avoir eu le temps de sortir le bout de son nez.

Oui, le mois de décembre est le mois du bilan. A faire avec un bon thé chaud et un plaid. Je vais d’ailleurs de ce pas relancer la bouilloire.

Cette année a été une année mouvementée par plusieurs aspects. Le bilan se fera donc en plusieurs parties. Voici la première axée sur le côté militant.

Je hais les bordures

Je hais les bordures. Je les déteste. Et elles me les rendent bien.

En un an et demi de vélotaf (le fait de prendre le vélo pour aller au taf), les bordures sont responsables de 3 de mes 4 plus grosses chutes. Avec comme résultats beaucoup de bleus, des freins déréglés, un pneu crevé, une fourche tordue et un poignet cassé. Oui, en général, je ne fais pas les choses à moitié.

Velotaf : prendre sa place

Prendre sa place.

Il s’agit peut-être du conseil le plus utile que l’on ne m’ait jamais donné sur la pratique de la bicyclette.

Il s’agit aussi du conseil qui m’a prise le plus de temps à suivre.

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