Étiquette : aliénation

Des tétons et des bastons

Dans mon bilan des lectures 2021, j’ai abordé très rapidement les comics Batman, et leur représentation des femmes. J’aurai aimé ajouter « minorités de genre » mais les personnes LGBTI sont quasiment absentes de l’univers DC (oui, je sais, il y a des personnages LGBTI, sauf que j’en ai pas encore beaucoup croisé, à part Batwoman, Montoya et Constantine).

Pour appuyer mes propos, rien ne vaut un exemple concret : « Batman Silence » de Jeph Loeb et Jim Lee, un comic que j’ai emprunté très récemment.

Burn-out : de la nécessité de l’arrêt

On a vu dans l’article précédent à quoi correspondait le terme “burn-out”, et la responsabilité de l’organisation du travail (et donc de l’entreprise pour le travail salarié) dans la venue du burn-out.

Ok, et maintenant, que faire si on est en burn-out ?

Burn-out : quand le travail crame

C’est étrange comme le temps passe vite. Les collines se couvraient d’or et les feuilles rougeoyantes virevoltaient d’ans l’air, mais, quelques jours après, l’été et son soleil de plomb ses averses s’installent déjà et les bourdons butinent mes pieds de tomates. Oh, les canicules n’ont pas encore recouvert la ville de leur manteau suffocant, mais cela ne devrait plus tardé.

C’était hier. Comme tous les matins, je me suis levée, j’ai pris ma douche, j’ai bu mon thé et j’ai allumé mon PC. Sauf que cette fois-ci, j’ai paramétré une réponse automatique sur ma boite mail professionnelle pour deux semaines, j’ai éteint mon ordinateur, je me suis allongée sur mon canapé – à côté de mon chat – et j’ai pleuré.

Deux semaines, qui sont devenues trois puis cinq.

Burn-out.

Réflexion en vrac : Commune, écriture et violences

A l’origine, j’avais prévu de rédiger un article sur le burn-out. J’ai vu – sur le Net et dans mon entreprise – des propos dangereux culpabilisant les personnes et déresponsabilisant les entreprises. Et puis, pourquoi pas, exorciser cette phase d’épuisement, dont je ne suis pas totalement sortie, en y mêlant mon expérience personnelle. Bref, j’aurai aimé, à mon échelle, remettre les choses à l’endroit, dans ce monde cachant les structures oppressives sous des choix individuels et biaisés.

Bilan 2020, partie 2 : Burn-out, colère et écriture

Le brouillard nocturne est de retour et annonce l’installation de l’hiver. Quelques rayons de soleil font une percée vers midi et disparaissent aussi vite quand l’heure des crêpes sonnent. Bref, le mois de décembre est là, c’est le moment du bilan annuel.

Cela devient une habitude, mais ce billet est divisé en deux parties. La première partie se trouve ici.


Burn-out et priorisation

Je le traînais depuis des mois, ce burn-out. Et pour tout dire, ce n’est pas comme si ma santé mentale était au beau fixe avant. Mais voilà, à tirer sur la corde, à un moment, ça craque. Et on arrête. Et on pleure. Et on dort. Beaucoup.

Un jour comme un autre

Haïku de la nuit 21

Le temps enfermé

Dans le coffre des patrons

A quand l’évasion ?

“Entends la nuit” de Catherine Dufour

Je pense que tout le monde cache un petit secret honteux. Une contradiction avec ses valeurs, un truc que l’on glisse sous le tapis quand des amies viennent dîner à la maison, une passion dévorante que l’on assouvit quand personne ne regarde. Nous sommes humaines après tout.

Haïku de la nuit 1

Mes nuits sont perdues,

Aliénées par le travail.

Rêve d’un autre monde.

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