Catégorie : Chroniques de livres

Chroniques de l’imaginaire – L’incivilité des fantômes de R. Salomon

Point d’attention : cette chronique parlera de violences, dont de violences sexuelles.

L’incivilité des fantômes est un roman de space opera écrit par Rivers Salomon. Il raconte l’histoire d’Aster dans un vaisseau générationnel, le Mathilda. Ce vaisseau est régi par une société de castes très hiérarchiques et strictes, mêlant allégrement sexisme et racisme.

Chroniques de l’imaginaire – Apprendre, si par bonheur de Becky Chambers

Point d’attention : le livre aborde les sujets de la dépression et de tentatives de suicide.

Chroniques de l’imaginaire — Saga de B. K. Vaughan et F. Staples

La série Saga est un comic de space opera, dont le dixième tome est sorti fin 2022 (tome lu cette année). La série est toujours en cours. L’histoire se passe dans un univers quasi sans limite où une planète, Continent, et son satellite, Couronne, se font la guerre à travers d’autres mondes depuis des années et des années.

Chroniques de l’imaginaire — L’aube de Octavia E. Butler

Point d’attention : ce texte abordera le viol et le plaisir subi. Si vous avez besoin d’aide, vous pouvez appeler les numéros suivants :

  • Violences contre les femmes : 3919
  • Viols Femmes Informations : 0 800 05 95 95
  • Violences dans lʼenfance : 0 805 802 804

Un an de lecture 2022

Cette année, j’ai décidé d’être plus exigeante en terme de lecture, que ce soit pour le genre des auteurices, mais aussi du contenu en lui-même. Il y a beaucoup trop de chefs- d’œuvres, de livres remue-ménages pour perdre du temps sur des bouquins pour lesquelles je n’accroche pas ou qui ne me touche pas d’une manière ou d’une autre.

Chroniques de l’imaginaire — La Justice de l’ancillaire d’Ann Leckie

La Justice de l’ancillaire est un bon vrai space opera : voyages interstellaires, manipulations politiques, descriptions de différentes cultures humaines, impact des civilisations non-humaines sur les sociétés humaines…

Un an de lecture – 2021

Trigger warning : les livres dont je vais discuter ici peuvent parler de violences sexuelles et physiques ou psychologiques, ainsi que de suicide. Mieux vaut le savoir avant de continuer.

J’ai déjà raconté à quel point la lecture est une compagne précieuse dans ma vie, qui m’accompagne dans les moments de mélancolie et m’aide à avancer. Les livres me construisent, me bousculent, me bercent.

Un an de lecture

Certaines personnes considèrent l’écriture comme une part inaliénable de leur être. Elles racontent comment toutes petites déjà, elles gribouillaient des histoires dans des cahiers et comment l’écriture leur permettait d’exprimer leurs idées et leurs sentiments de façon juste. Ce n’est pas mon cas.

“Entends la nuit” de Catherine Dufour

Je pense que tout le monde cache un petit secret honteux. Une contradiction avec ses valeurs, un truc que l’on glisse sous le tapis quand des amies viennent dîner à la maison, une passion dévorante que l’on assouvit quand personne ne regarde. Nous sommes humaines après tout.

“Demain un oasis” d’Ayerdhal

Cela faisait longtemps que je n’avais pas été touchée par un livre écrit par un homme.

J’ai tellement été déçue par certains auteurs, dont les livres brillaient soit par l’absence totale de femmes, soit par la réduction des personnages féminins à des stéréotypes patriarcaux (qui me fait regretter la première option…) que depuis je priorise les romans écrits par des autrices.

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