Le brouillard nocturne est de retour et annonce l’installation de l’hiver. Quelques rayons de soleil font une percée vers midi et disparaissent aussi vite quand l’heure des crêpes sonnent. Bref, le mois de décembre est là, c’est le moment du bilan annuel.
Cela devient une habitude, mais ce billet est divisé en deux parties. La première partie se trouve ici.
Burn-out et priorisation
Je le traînais depuis des mois, ce burn-out. Et pour tout dire, ce n’est pas comme si ma santé mentale était au beau fixe avant. Mais voilà, à tirer sur la corde, à un moment, ça craque. Et on arrête. Et on pleure. Et on dort. Beaucoup.
L’article original étant beaucoup un poil long, je l’ai scindé en deux parties. La première partie se trouve ici.
Les images illustrant cet article sont des pancartes vue lors d’un rassemblement contre les violences sexistes et sexuelles.
Attention : cet article aborde les thématiques de violences sexistes et sexuelles, notamment sur mineur·e·s.
J’en profite pour rappeler trois numéros à connaître absolument, que je peux appeler si je suis en danger ou en risque de l’être, ou si je connais une personne en danger :
3919 : pour trouver écoute et soutien pour toute femme victime de violences
0 800 05 95 95 : pour trouver écoute et soutien dans les démarches suite à un viol ou une tentative de viol
119 : lorsqu’un enfant est en danger ou en risque de l’être
Des actes commis par des hommes
La majorité de ces violences sexuelles sont commises par des hommes (de 95 à 99% selon le cadre). Si une femme sur cinq est victime d’agression ou de crime sexuelle, quelle est la proportion d’hommes agresseurs ?
“Éduquez vos fils. 1 femme sur 5 victimes de violences sexuelles. Combien d’hommes agresseurs ?”
L’article original étant beaucoup un poil long, je l’ai scindé en deux parties. La deuxième partie sera publié la semaine prochaine.
Les images illustrant cet article sont des pancartes vue lors d’un rassemblement contre les violences sexistes et sexuelles.
Attention : cet article aborde les thématiques de violences sexistes et sexuelles, notamment sur mineur·e·s.
J’en profite pour rappeler trois numéros à connaître absolument, que je peux appeler si je suis en danger ou en risque de l’être, ou si je connais une personne en danger :
3919 : pour trouver écoute et soutien pour toute femme victime de violences
0 800 05 95 95 : pour trouver écoute et soutien dans les démarches suite à un viol ou une tentative de viol
119 : lorsqu’un enfant est en danger ou en risque de l’être
J’avoue avoir eu envie de mettre aux oubliettes cet article. Le glisser dans la corbeille de mon bureau virtuel. La période est assez déprimante pour ne pas vouloir en ajouter, entre le confinement, les attentats, la précarité en embuscade pour beaucoup, l’incompétence crasse de notre gouvernement, les lois autoritaires et la luminosité naturelle qui diminue.
Mais voilà, j’ai une question qui tourne et tourne dans ma tête : pourquoi personne, hors du monde féministe, ne s’indigne contre la terreur imposée aux femmes par la classe des hommes ?
Cette terreur massive qui fait plus d’une centaine de mortes par an et qui marque toutes les femmes dans leur chair.
On suit Amy, une jeune fille de 11 ans, vivant avec sa mère et ses petits frères. Elle apprend que son père revient du Sénégal avec une deuxième femme dans les bagages. Témoin de la souffrance de sa mère, elle rencontre alors un groupe de danseuses « Les Mignonnes » qu’elle voudra à tout prix rejoindre.
Ça faisait longtemps que je souhaitais mettre à plat les questions liées aux femmes trans qui agitent les mouvements féministes. Je publie mes réflexions que j’espère pourront être utiles à d’autres pour comprendre la controverse.
Un premier article a posé les définitions, car c’est important de sortir de l’équivoque des mots.
Un deuxième (celui-ci ;)) revient sur la première tribune et certains de leurs arguments.
Un troisième reviendra sur les inquiétudes de certaines féministes radicales vis à vis du mouvement queer/trans.
Lorsque, parfois, on essaye d’imaginer à quoi ressemble un « agresseur sexuel type » (il n’existe pas), on pense à quelqu’un d’inconnu, d’étranger, armé. Vous savez-quoi ? Pour l’immense majorité des cas, c’est tout le contraire.