Cette année, j’ai décidé d’être plus exigeante en terme de lecture, que ce soit pour le genre des auteurices, mais aussi du contenu en lui-même. Il y a beaucoup trop de chefs- d’œuvres, de livres remue-ménages pour perdre du temps sur des bouquins pour lesquelles je n’accroche pas ou qui ne me touche pas d’une manière ou d’une autre.
Étiquette : histoire
Cette année, j’ai visité Rome. J’y étais déjà allée quand j’étais adolescente, grâce à une colonie de vacances itinérante. Au passage, merci aux CSE qui permettent à des enfants sans trop de moyens de voyager <3.
De l’expédition de l’époque, je n’en garde que des images lointaines : une fontaine devant des escaliers (probablement la Barcaccia, que j’ai longtemps prise pour la fontaine de Trévi), une queue immense devant un mur du Vatican (que l’on n’a pas visité au final), des rues pavées.
Cette fois-ci, j’avais bien l’intention de me plonger pleinement dans la ville.
Trigger warning : les livres dont je vais discuter ici peuvent parler de violences sexuelles et physiques ou psychologiques, ainsi que de suicide. Mieux vaut le savoir avant de continuer.
J’ai déjà raconté à quel point la lecture est une compagne précieuse dans ma vie, qui m’accompagne dans les moments de mélancolie et m’aide à avancer. Les livres me construisent, me bousculent, me bercent.
Il était une fois des êtres intelligents et puissants.
A l’origine, j’avais prévu de rédiger un article sur le burn-out. J’ai vu – sur le Net et dans mon entreprise – des propos dangereux culpabilisant les personnes et déresponsabilisant les entreprises. Et puis, pourquoi pas, exorciser cette phase d’épuisement, dont je ne suis pas totalement sortie, en y mêlant mon expérience personnelle. Bref, j’aurai aimé, à mon échelle, remettre les choses à l’endroit, dans ce monde cachant les structures oppressives sous des choix individuels et biaisés.
Églantine rouge
Dans le bouquet de muguets
Sang de nos ainé·e·s
Bonne journée des travailleuses et travailleurs, que vous fassiez du travail payé et/ou gratuit ! Et tiens, même si vous ne travaillez pas, que vous soyez privé·e·s d’emploi ou par choix.