Le temps file entre les doigts. L’automne est là. La baisse de luminosité, aussi.
Le temps est précieux. Et volatile.
Depuis la fin du télétravail à 100%, je n’arrive plus à écrire tous les jours. Je pars à 7h30 et je reviens à 18h30 au mieux. 11h de ma vie qui s’effrite en poussière.
J’ai plein d’envies d’articles. Des thèmes qui tournent dans mon crâne et où l’écriture me permettrait de clarifier les idées qui nagent dans le marécage de mon cerveau. J’aimerai écrire les raisonnements, les réponses après-coup, les coups de gueules et les coups de cœur.
Mais je préfère passer le peu de temps que je vole à travailler des textes de fiction.
En voici un.
Il s’agit d’une nouvelle se situant dans un monde dystopique où l’écriture est interdite. Elle parle de deuil et de révolution intérieure qui fait écho à la lutte collective.
C’est ma première nouvelle “finie”. J’espère qu’elle vous plaira, malgré ses défauts.