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Les rêves de l’Arcadie – Chapitre 2

Quand Azza rouvrit les yeux, elle ne vit qu’un halo diffus. Son corps flottait, léger, si léger, comme en apesanteur. C’était donc à ça que ressemblait la mort ? Un vide rempli de liquide chaud, flou et lumineux.

Chroniques de l’imaginaire — L’aube de Octavia E. Butler

Point d’attention : ce texte abordera le viol et le plaisir subi. Si vous avez besoin d’aide, vous pouvez appeler les numéros suivants :

  • Violences contre les femmes : 3919
  • Viols Femmes Informations : 0 800 05 95 95
  • Violences dans lʼenfance : 0 805 802 804

Les rêves de l’Arcadie – Chapitre 1

Avant-propos : j’ai hésité longtemps avant de le publier, mais voilà, même s’il est loin d’être parfait, j’aime bien mon premier roman, un space opera assez classique. J’espère que vous pardonnerez les erreurs d’écrivaine débutante (que je suis encore) pour apprécier le roman. J’essayerai de publier un chapitre un mercredi sur deux. Bonne lecture.

Un an de lecture 2022

Cette année, j’ai décidé d’être plus exigeante en terme de lecture, que ce soit pour le genre des auteurices, mais aussi du contenu en lui-même. Il y a beaucoup trop de chefs- d’œuvres, de livres remue-ménages pour perdre du temps sur des bouquins pour lesquelles je n’accroche pas ou qui ne me touche pas d’une manière ou d’une autre.

Chroniques de l’imaginaire — La Justice de l’ancillaire d’Ann Leckie

La Justice de l’ancillaire est un bon vrai space opera : voyages interstellaires, manipulations politiques, descriptions de différentes cultures humaines, impact des civilisations non-humaines sur les sociétés humaines…

Un an de lecture – 2021

Trigger warning : les livres dont je vais discuter ici peuvent parler de violences sexuelles et physiques ou psychologiques, ainsi que de suicide. Mieux vaut le savoir avant de continuer.

J’ai déjà raconté à quel point la lecture est une compagne précieuse dans ma vie, qui m’accompagne dans les moments de mélancolie et m’aide à avancer. Les livres me construisent, me bousculent, me bercent.

Nouvelle : Des ailes de papier

Le temps file entre les doigts. L’automne est là. La baisse de luminosité, aussi.

Le temps est précieux. Et volatile.

Depuis la fin du télétravail à 100%, je n’arrive plus à écrire tous les jours. Je pars à 7h30 et je reviens à 18h30 au mieux. 11h de ma vie qui s’effrite en poussière.

J’ai plein d’envies d’articles. Des thèmes qui tournent dans mon crâne et où l’écriture me permettrait de clarifier les idées qui nagent dans le marécage de mon cerveau. J’aimerai écrire les raisonnements, les réponses après-coup, les coups de gueules et les coups de cœur.

Mais je préfère passer le peu de temps que je vole à travailler des textes de fiction.

En voici un.

Il s’agit d’une nouvelle se situant dans un monde dystopique où l’écriture est interdite. Elle parle de deuil et de révolution intérieure qui fait écho à la lutte collective.

C’est ma première nouvelle « finie ». J’espère qu’elle vous plaira, malgré ses défauts.

Une question de point de vue

Il était une fois des êtres intelligents et puissants.

Réflexion en vrac : Commune, écriture et violences

A l’origine, j’avais prévu de rédiger un article sur le burn-out. J’ai vu – sur le Net et dans mon entreprise – des propos dangereux culpabilisant les personnes et déresponsabilisant les entreprises. Et puis, pourquoi pas, exorciser cette phase d’épuisement, dont je ne suis pas totalement sortie, en y mêlant mon expérience personnelle. Bref, j’aurai aimé, à mon échelle, remettre les choses à l’endroit, dans ce monde cachant les structures oppressives sous des choix individuels et biaisés.

Un an de lecture

Certaines personnes considèrent l’écriture comme une part inaliénable de leur être. Elles racontent comment toutes petites déjà, elles gribouillaient des histoires dans des cahiers et comment l’écriture leur permettait d’exprimer leurs idées et leurs sentiments de façon juste. Ce n’est pas mon cas.

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