Étiquette : écologie

Des petits pas, des petits pas…

Avant-propos : j’ai hésité à publier cet article car, syndrome de l’imposteure n’aidant pas, je ne participe à aucun collectif écologiste faute d’énergie. Je me dis qu’il reste intéressant, mais l’objectif n’est en aucun cas de donner des leçons, juste de présenter la stratégie qui me semble la plus pertinente.

Vous vous rappelez des manifestations pour le climat ?

Où on criait : « on est plus chaud, plus chaud, plus chaud que le climat » ou encore « des petits pas, des petits, ça suffit pas ». Et puis on avait nos pancartes « destroy patriarchy, not the climat » ou bien « l’écologie sans lutte des classes, c’est du jardinage », « sauvez la planète, mangez un riche ! », …

Bilan 2021, Partie 1 : Ma vie d’écoco écrivaine

Le temps est pareil à une brume argentée : insaisissable, il rend les événements ouatés et lointains. On ne voit rien à plus d’un mètre, alors on avance, un pas devant l’autre. Et puis un jour, le voile se lève et on découvre, étonnée, toute la distance parcourue.

Alors, que dire de 2021 ?

Changement de direction et bras tendu

Il y a quelques mois (un an en fait…), la sécurité routière avait lancé une campagne d’affichage « Attention à vélo, attention aux vélos ».

A l’époque, les messages véhiculés m’avaient gêné. Je déplorais (et je déplore toujours) l’absence de concret et le renvoi dos-à-dos des cyclistes et des automobilistes, ces dernièr·e·s, rappelons-le, tuant un nombre très élevé de personnes alors que les cyclistes, aucune (ou presque).

Je ne parlerai pas du port du casque, dont l’utilité en ville est discutable (pour les cyclistes adultes). Il y a déjà des études et des retours d’expériences sur cet aspect.

Je voudrais revenir sur un sujet en particulier : doit-on indiquer un changement de trajectoire en tendant le bras ?

« Attention à vélo, attention aux vélos » de la sécurité routière

Une question de point de vue

Il était une fois des êtres intelligents et puissants.

Nef, anthroposophie et écolo-ésotorisme

En bonne petite écolo décroissante de classe moyenne plus, j’ai ouvert un compte à la banque la NEF, qui est notée comme la plus verte de toutes les banques. Transparence totale et financement de projets poussant vers une transition écologique, que du rêve !

Comme une envie de fuite

Des fois, j’ai envie de tout claquer. Quitter la grande ville pour une petite maison avec jardin dans un coin perdu, quelque part sur un plateau montagnard.

Haïku de la nuit 6

Fleurs et herbes folles

Sur le trottoir goudronné

Reprennent leur place

Bilan 1 : La lutte continue

Le mois de décembre est le mois du bilan. La mélancolie douce de l’automne s’efface, les dernières feuilles lumineuses tombent et le soleil – quand il apparaît – disparaît derrière les immeubles avant d’avoir eu le temps de sortir le bout de son nez.

Oui, le mois de décembre est le mois du bilan. A faire avec un bon thé chaud et un plaid. Je vais d’ailleurs de ce pas relancer la bouilloire.

Cette année a été une année mouvementée par plusieurs aspects. Le bilan se fera donc en plusieurs parties. Voici la première axée sur le côté militant.

« Demain un oasis » d’Ayerdhal

Cela faisait longtemps que je n’avais pas été touchée par un livre écrit par un homme.

J’ai tellement été déçue par certains auteurs, dont les livres brillaient soit par l’absence totale de femmes, soit par la réduction des personnages féminins à des stéréotypes patriarcaux (qui me fait regretter la première option…) que depuis je priorise les romans écrits par des autrices.

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