Haïku de la nuit 50

Il est difficile

D’écrire un beau haïku

Et pourtant j’essaie

Qu’est-ce que le féminisme ?

Petite précision : j’ai commencé à écrire cet article avant que les militantes anti-trans s’auto-définissent « femellistes » et rejettent le terme de « féministes ». J’ai décidé de publier cet article car il me permet tout de même de poser certaines bases que je trouve importantes.

Féminisme : un terme, des définitions

Qu’est-ce qu’être féministe ? Vu les flots de boue twiterresque dont la source est une personne se définissant comme féministe, c’est une question qui tourne dans ma tête depuis quelques temps. Et comme souvent, je souhaite poser mes réflexions sur papier (virtuel) pour alléger mon cerveau.

Haïku de la nuit 49

D’un doux bruissement

La pluie lessive mon cœur

De peurs asséchées

Retours de Bretagne

Cette année, j’ai pris mon courage à deux mains et je suis partie en solo, en mode sac à dos.

Haïku de la nuit 48

Les bocages verts

Regorgent de rouges-gorges

Et de mûres noires

#Syndiquez-vous : pistes de réflexions

J’ai beaucoup vu tourner l’hashtag (ou croisillon) #SyndiquezVous, moi-même l’ayant utilisé à plusieurs reprises. De ma toute petite expérience, se syndiquer n’est ni évident, ni suffisant. Le but de cet article est de tracer quelques pistes pour aider à intégrer un syndicat.

Haïku de la nuit 47

Sous le ciel doré

Les étoiles vont se coucher

Montagnes d’été

Un de mes plus beaux souvenirs : un lever de soleil dans le Vercors, une tasse de thé à la main, après une nuit froide sous la tente de bivouac.

Notes : je prévois une pause sur le mois d’août. Bel été 🙂

Haïku de la nuit 46

Au creux du vallon

Lézardent au bord de l’eau

Les maisons dorées

Impressions de Rome

Cette année, j’ai visité Rome. J’y étais déjà allée quand j’étais adolescente, grâce à une colonie de vacances itinérante. Au passage, merci aux CSE qui permettent à des enfants sans trop de moyens de voyager <3.

De l’expédition de l’époque, je n’en garde que des images lointaines : une fontaine devant des escaliers (probablement la Barcaccia, que j’ai longtemps prise pour la fontaine de Trévi), une queue immense devant un mur du Vatican (que l’on n’a pas visité au final), des rues pavées.

Cette fois-ci, j’avais bien l’intention de me plonger pleinement dans la ville.

Haïku de la nuit 45

J’ai les mains tremblantes

D’une colère sans nom

Me bouffant les nerfs

Pas toujours facile de gérer la colère face aux violences et injustices de ce monde.

Heureusement, on ne sent plus seule quand on a la partage avec d’autres pour créer de la lumière.

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