Avant-propos 22/05/2025 : depuis l’écriture, j’ai beaucoup appris, notamment grâce au travail de camarades trans. Si je devais réécrire cette série d’articles, je le ferais autrement. Néanmoins, je pense (peut-être à tord) qu’elle reste intéressante pour le côté « basique » et donc qui n’est pas très carré sur la théorie. Pour les personnes qui souhaitent aller plus loin dans la théorie, je conseille « Matérialisme trans » qui un ouvrage collectif sur l’étude matérialisme de la transition. L’introduction de ce livre est un très bon résumé du courant théorique matérialiste. J’ai supprimé le troisième article qui était prévu car avec mon évolution, je le trouve bancal et reprenant des arguments transphobes.
Ça faisait longtemps que je souhaitais mettre à plat les questions liées aux femmes trans qui agitent les mouvements féministes. Je publie mes réflexions que j’espère pourront être utiles à d’autres pour comprendre la controverse.
Un premier article a posé les définitions, car c’est important de sortir de l’équivoque des mots.
Un deuxième (celui-ci ;)) revient sur la première tribune et certains de leurs arguments.
Un troisième reviendra sur les inquiétudes de certaines féministes radicales vis à vis du mouvement queer/trans.
J’aimerai revenir sur certains points abordés par la tribune « Trans : suffit-il de s’autoproclamer femme pour pouvoir exiger d’être considéré comme telle ? ».
- Les femmes sont-elles des êtres humains femelles ?
- L’exploitation des femmes est-elle liée à la biologie ?
- Le fait d’être femme correspond-il une réalité physiologique ?
- Impacts du droit des femmes trans sur les mesures correctives
- Ouvrir les lieux non-mixtes des femmes aux femmes trans abaisseraient la sécurité de ces lieux ?