J’ai honte de l’écrire, mais je ne connaissais pas le génocide des Tutsi avant de lire ce livre, ou du moins je ne me rappelais que les images d’enfants affamés dans mon livre d’histoire et d’un nom d’un artiste rescapé. En premier lieu, j’avais acheté ce livre pour mieux comprendre les mécanismes en œuvre dans les massacres des femmes lors des conflits, qui sont « sur-tuées » par rapport aux hommes. J’ai fermé le livre avec colère et tristesse.